• Cliquez ICI pour lire la lettre envoyée à la ministre concernant la situation propre aux moyens dédiés spécifiquement aux classes de 3ème prépa-pro.


  • Consultez la circulaire 2016 pour le mouvement INTRA de l'académie de Toulouse en cliquant ICI

    La saisie des voeux doit être faite entre le 14 et le 31 mars sur SIAM.


  • DROIT À LA MUTATION : UN SYSTÈME VERROUILLÉ
    Face à un projet de mouvement 2016 encore plus catastrophique que les années précédentes, les élu-es commissaires paritaires nationaux du SNUEP-FSU ont décidé d'interpeller Mme la ministre, dans le cadre d'une intersyndicale avec la CGT et le SNETAA, les autres organisations représentatives à la CAPN des PLP, le SGEN et le SE-UNSA n'ayant pas souhaité s'y associer.
    Le mercredi 2 mars, à l'ouverture des commissions nationales, la directrice des ressources humaines du ministère a affirmé que ses services feraient tout leur possible pour débloquer des situations difficiles. Dans la réalité, cette affirmation s'est vite révélée un vœu pieu puisqu'il aura fallu toute l'opiniâtreté et la détermination des commissaires paritaires nationaux du SNUEP-FSU en début des travaux de la CAPN, pour rappeler cet engagement, menaçant même d'interrompre les travaux si la situation restait bloquée. Les deux jours d'échanges (au lieu de un et demi les dernières années) avec les gestionnaires du ministère ont pu alors se dérouler dans des conditions d'échange et d'écoute qui ont permis d'améliorer un grand nombre de mutations. 
    Une grande majorité des améliorations apportées au projet de mouvement tout droit sorti de l'algorithme informatique de l’administration est le fruit du travail des élu-es du SNUEP- FSU. Leur étude approfondie du mouvement et des dossiers ont permis de faire des propositions d’amélioration dans le respect du barème prenant en compte la situation professionnelle, familiale voire médicale des candidat-es. Cependant, la situation faite aux PLP reste exécrable ! Seul-es 28 % des titulaires mutent en vœu 1 et 66 % des titulaires ne muteront pas cette année, faute d'avoir été satisfait-es dans leurs vœux. Pire encore, 32 % des stagiaires sont affecté-es dans des académies non choisies. Encore une fois, le ministère met les fonctionnaires PLP dans des situations impossibles et laisse de nombreux-ses collègues séparé-es cette année encore de leur famille, et que dire des collègues originaires des DOM affecté-es par défaut en région parisienne ?
    Même si nous reconnaissons les efforts consentis par l’administration, le SNUEP-FSU continuera à réclamer des moyens supplémentaires pour l enseignement professionnel public. Il continuera à œuvrer pour rendre le mouvement des PLP plus satisfaisant. La crise de recrutement de PLP titulaires, les suppressions de postes, fruits de la politique menée contre l'enseignement professionnel, conjuguée à des calibrages budgétaires ne prenant pas en compte les besoins réels du terrain sont un frein à la mobilité des PLP.
    Le SNUEP-FSU exige que tous les postes vacants soient proposés au mouvement, dénonce le mode de calcul de la DGH qui permet aux rectorats de supprimer des postes et déplore l'utilisation du corps des PLP comme variable d'ajustement des moyens d'enseignement du second degré. Le SNUEP-FSU plus que jamais exige un retour à un mouvement national et unique des personnels, seul garant d’un réel droit à mutation.

    Paris, le 7 mars 2016


  • Intersyndicale second degré jeudi 3 mars 2016  

    L’intersyndicale second degré (le SNES-FSU, le SNEP-FSU, le SNUEP-FSU, le SNFOLC, le SNETAAFO, le SFSDPEP-FO, la CGT, la CGT enseignement privé, le SNALC FGAF , le SNCL-FAEN, le SIESFAEN, le SUNDEP-Solidaires et SUD Education) appelle les personnels à rejoindre les manifestations et initiatives prises en particulier par les organisations de la jeunesse le 9 mars prochain pour le retrait de la loi El Khomri. Elles sont partie prenante de ce combat contre la réduction des droits et garanties du monde du travail et pour leur amélioration qui passe aussi par l’ouverture de nouveaux droits. 

    L’intersyndicale réaffirme sa détermination à obtenir l’abrogation de la réforme du collège et l’ouverture rapide de discussions sur d’autres bases. Elle appelle l’ensemble des collègues à poursuivre la lutte pour que cette réforme ne soit pas mise en œuvre à la rentrée 2016. Elle soutient toutes les initiatives décidées collectivement dans les établissements en lien avec les organisations syndicales de l’intersyndicale (reconduction de la grève, assemblées générales, heures d’information syndicale, refus collectif des formations à la réforme, refus des DGH qui entérineraient les dispositifs de college2016, initiatives communes avec les parents d’élèves…). 

    Elle se réunira le 15 mars pour faire le point sur la situation sociale et décider des modalités d’action en articulation avec les initiatives intersyndicales de la Fonction publique et interprofessionnelles.  


  • A l’occasion du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droit des femmes, nous appelons les femmes et les hommes à se mobiliser sur leurs lieux de travail pour faire cesser ces discriminations inacceptables et pour faire de l’égalité une réalité. Les pouvoirs publics doivent mener et évaluer l’ensemble des politiques publiques à l’aune de l’égalité. Les employeurs du privé comme du public doivent mettre fin aux inégalités salariales et professionnelles, à la précarité et se donner les moyens de mieux combattre les violences sexistes et sexuelles au travail ».




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